10 réflexions sur « Les véritables blasphémateurs sont les fondamentalistes – La Libre p.51 »

  1. Oui, à 90% d’accord avec que Eric écrit. Cependant, tout en trouvant inacceptable et sacandaleuse la tentative d’assasinat de S Rusdhie, je ne peux m’empêcher de penser qu’il a tort d’avoir utiliser le mot « satanique » à l’égard de l’Islam. S’il avait utilisé le terme « inaceccpectable », je ne trouverais rien à lui dire. Mais en utilisant le mot « satanique », il provoque à juste titre la colère de ceux qui n’accepteraient pas que le mot « satanique » soit associcié à Jésus-Christ. De de grâce, ne demandons pas aux autres d’accepter ce que nous considéront comme des insultes, sans quoi, nous courrons le risque de nous décrilibiser complètement nous mêmes.

    1. Si je comprends bien, ce romancier a bien mérité son sort.
      Ne pas jouer sur les mots svp Jean pierre.
      Sa souffrance a été immense, peu importe son roman, sa fiction.
      Jean Pierre, imagine sa vie après son roman. Devoir vivre reclus comme un rat pendant des années entières!!
      Je ne le souhaite pas à personne même mon pire ennemi actuel ou passé.
      Jean Pierre, peut importe les mots , car les mots ne tuent pas mais les couteaux des islamistes bien et vouloir confondre les mots avec les couteaux ne m inspire rien de boin pour l avenir.

  2. Ne jamais dire que l islamisme est un problème en nos contrées est un très grand problème.

    C’est faire preuve d un angélisme sans limite et d une méconnaissance de l histoire abyssale.
    Quelle désolation ce manque de clairvoyance des chrétiens occidentaux !

    Pauvres moutons bientôt tondus au plus ras de la peau.

    1. Tout est dans la distinction entre « Islam » et « Islamisme ».
      L’islamisme est une politisation violente de l’islam et s’est érigé en ennemi juré de nos valeurs occidentales. Personne n’est dupe.

      Cependant, les commentaires de Xavier Gillis sont très intéressants et méritent réflexion.
      Il pointe du doigt des éléments de l’Islam, entre autres historiques, qui poussent ses adeptes à « islamiser » toujours davantage les pays où ils sont au pouvoir, voire même ceux vers lesquels ils émigrent. Dès lors, la distinction « islam-islamisme » deviendrait plus floue.

      Mais c’est une erreur de raisonnement: le fait que beaucoup de pays à prédominance musulmane imposent un mode de vie, civil et politique, inspiré par l’islam n’est pas un signe, qu’au bout du compte, l’islam débouche invariablement sur l’islamisme.
      Il prouve seulement que, dans l’état actuel du monde, les pays à prédominance musulmane ne connaissent pas le principe de séparation Eglise-Etat.

      A cet égard, ils ne sont guère différents de la civilisation chrétienne du Moyen Age.

      1. Du point de vue des femmes, le moyen-age chrétien dont vous parlez fut une période d’épanouissement si l’on compare avec l’ époque victorienne, l’antiquité greco-latine et surtout les pays actuels à prédominance musulmane. Du point de vue des homosexuels , certains pays à prédominance mususlmane pratiquent la peine de mort. Je ne sais pas si la séparation église -état, une sorte de loi 1901 ou de pacte scolaire ( ? ) résoudrait le problème.

        1. Difficile, dans un blog comme celui-ci, de s’étendre sur un sujet aussi vaste que la relation Eglise-Etat. Les racines historiques et philosophiques du débat couvrent des siècles…
          En plus de cela, comme on dit en Hollande, “ de vlag dekt niet altijd de lading”.
          Ainsi, les États-Unis ont une constitution garantissant la séparation Eglise-Etat, mais dans le vécu politique les forces religieuses ont une influence souvent décisive, au point que certains cardinaux ou archevêques américains se sont permis de faire pression sur les catholiques américains pendant les élections présidentielles…

          A contrario, le Royaume Uni, qui connaît pourtant une “established church”, l’Eglise Anglicane, dont le Monarque est la tête temporelle, est un pays où le vécu politique est très rarement affecté par les forces religieuses (exception faite pour l’Irlande du Nord).

          Je note au passage que, quelles que soient leurs circonstances constitutionnelles, la grande majorité des pays occidentaux sont engagés dans un processus de sécularisation qui semble irréversible.
          Et j’applaudis !

  3. Dans la religion juive le Seigneur fait alliance avec son peuple. Dans la religion chrétienne l’alliance de Dieu se fait avec l’humanité tout entière et il y une proximité avec chaque être humain grâce à l’incarnation. Le Royaume de Dieu n’est pas de ce monde.
    Rien de tout cela dans la vision du monde de l’islam. Il y a le coran et l’exemple de Mohamed. Le message du coran est spirituel car il y les prières mais aussi il exige des croyants de réaliser un monde idéal par la persuasion ou si besoin par la force comme l’a fait Mohamed. Tous les pays où les musulmans sont au pouvoir utilisent plus ou moins la contrainte et les discriminations envers les non musulmans. Les arguments rationnels ne sont pas sérieusement pris en compte.
    La liberté d’expression s’arrête dès que l’islam est remis en cause. Un musulman peut faire semblant dans ses paroles d’être rationnel ou d’accepter la liberté d’expression pendant un certain temps pour endormir votre vigilance ou vous manipuler en sa faveur.

  4. La religion chrétienne demande à chacun de suivre Jésus. Il nous invite à pardonner les offenses, à être indulgent envers les faiblesses des autres et à combattre nos propres travers, péchés, manques, imperfections. On vit plus heureux et on sera aussi récompensé le jour du jugement.
    Jésus a vaincu le mal et la mort et Il sera toujours à nos côtés, miséricordieux.
    L’islam promet une société idéale pour les « croyants ». Il est requis de participer à créer une société idéale où les préceptes du coran seront respectés. Le musulman doit donc se perfectionne soi même mais aussi combattre dans la mesure de ses moyens ceux qui ne sont pas croyants. Une trêve peut être tactiquement conclue. Le mal est identifié aux mauvais musulmans et aux non-croyants.
    Le communisme aussi promet une société idéale mais pour les travailleurs. Il faut combattre les patrons et les paysans riches. Le mal est identifié aux capitalistes.
    Le nazisme promettait unes société idéale mais pour les aryens. Le mal est identifié aux juifs.

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