Ce mardi 14 janvier, ma chronique du mois est parue dans le quotidien « La Libre » en p.53. Pour lire celle-ci, cliquez sur le lien suivant: « Sacré salaire ».
Merci à la rédaction de « La Libre » de m’offrir cet espace d’expression.
Ce mardi 14 janvier, ma chronique du mois est parue dans le quotidien « La Libre » en p.53. Pour lire celle-ci, cliquez sur le lien suivant: « Sacré salaire ».
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je vous ai écrit une lettre reprenant des réflexions consécutives à l’article « Sacré salaire » mais je n’ai pas d’adresse à écrire sur l’enveloppe ou d’adresse e-mail à laquelle destiner cette lettre en pièce jointe. Pouvez-vous compléter mon information ? Grand merci.
Vous pouvez la poster sur ce blog, afin d’alimenter la discussion. Sinon sur e.debeukelaer@catho.be.
J’ai lu récemment un livre, qui décrivait un « rêve », assez similaire au votre, écrit récemment.
C’était l’histoire, non d’un patron devenu bénévole, mais d’un homme ordinaire, qui par la vertu d’obéissance (hors de tout contexte religieux), parvenait à redonner une âme à son entreprise, y compris au niveau des petits actionnaires!
Car c’est aussi parfois le problème de ces grosses machines, d’avoir un patron, qui soumis aux diktat des gros actionnaire, et de la soif de profit, sont conduits à prendre des décisions qui ôtent le sens que les employés pourraient trouver à leur emploi.
Ceci mis à part, j’ai une petit critique à formuler, l’absence du mot générosité dans votre article, car c’est un développement élevé de celle-ci que vous demanderiez à votre patron modèle, et je me suis étonné de ne pas le lire, car c’est toujours utile de se voir rappeler que l’antidote de l’avidité est la générosité.
Cordialement.
Finalement, l’échelle des salaires devient un des marqueurs de l’échelle des valeurs. J’ai été sensible à cela et le suis encore trop, mais je pense que cette valorisation par différence ou recherche de statut est l’exact opposé du christianisme.