La nomination des évêques de Namur et de Tournai était attendue avec impatience. Le dévoilement de leur nom est donc accueilli avec soulagement par les diocèses concernés. La nouvelle met également fin à un longue période d’incertitude et de rumeurs, ce qui est heureux.
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Si ce n’est que Mgr Frédéric Rossignol fut comme adolescent, scout dans une troupe dont je m’occupais comme séminariste, je ne le connais guère vu sa mission au Vietnam.
J’ignore tout de Mgr Fabien Lejeusne, mais découvre avec intérêt son parcours atypique de jeune, converti et baptisé à l’âge de 18 ans. Un parcours à l’image de tant de catéchumènes de la génération Z aujourd’hui…
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Les deux futurs évêques (Mgr Rossignol à Tournai et Mgr Lejeusne à Namur) partagent plusieurs points communs : l’appartenance à une communauté religieuse plutôt qu’au clergé diocésain (comme le pape François et le pape Léon), le saut de deux générations par rapport aux évêques qu’ils remplacent (ils sont respectivement nés en ’74 et en ‘73) et un apostolat qui s’est déroulé la plupart du temps à l’étranger.
Tel un courant d’air qui balaie une maison de son vent frais, c’est donc une volonté de renouvellement de l’Eglise de Belgique que manifestent ces nominations, en vue du renforcement de son caractère missionnaire.
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Remercions Mgr Harpigny et Mgr Warin pour leur épiscopat, jalonné de belles réalisations
Prions pour les nouveaux jeunes pasteurs, appelés à leur succéder.
Que de loyaux collaborateurs les aident à découvrir l’Eglise locale où ils auront à se déployer.
Que souffle sur eux un Esprit de force, pour apporter la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ dans les diocèses qui vont les accueillir.