En p.6 du quotidien « le Soir », cette déclaration d’Olivier Deleuze coprésident d’Ecolo à propos des mauvais résultats électoraux de son parti : « Moi, j’assume le mauvais résultat et les erreurs. Avec Emily (Hoyos) j’ai été élu chef. C’est de ma faute, voilà. Et ce n’est pas la faute d’un lampiste, fut-il prestigieux. Cela fait partie de mon devoir: on assume. (…) Ma responsabilité est totale, totale. »
Une prise de responsabilité trop rare pour ne pas être saluée.
J’apprécie l’humilité de reconnaître ses erreurs,c’est le signe d’un grand personnage, et notre route de vie n’est pas une simple ligne droite, la route est sinueuse et parsemée d’embûches, le tout, c’est de garder le cap.
En effet; en parlant ainsi, il se grandit même dans l’échec !