L’avertissement d’un géant – La Libre 6 juin p.55

Ce vendredi 6 juin – jour de commémoration du D-Day – ma chronique du mois est parue dans le quotidien « La Libre » en p.55. Pour lire cette chronique, cliquez sur le lien suivant: « L’avertissement d’un géant ».

Merci à la rédaction de « La Libre » de m’offrir cet espace d’expression.


2 réflexions sur « L’avertissement d’un géant – La Libre 6 juin p.55 »

  1. Monsieur l’Abbé, Révérend Doyen,
    « L’avertissement d’un géant » LLB de ce 6 juin 2014
    Une question :
    Pourquoi intitulez-vous votre article : « LE REGARD DU PRETRE » ?
    J’ai lu avec intérêt cet article que vous avez rédigé en tant que chroniqueur mais votre position de prêtre catholique, que je respecte grandement, croyez-moi, n’a rien à voir,
    me semble-t-il, avec le contenu de l’article en question.
    Un commentaire :
    1) Churchill déclarait, e.a. en 1953, que le R.U. est aux côtés de la CED mais, car il y a un « mais », qu’il ne veut pas en faire partie …. étonnant quand même !
    Oui, il a effectivement prôné la formation d’une Europe MAIS sans le R.U (à cause de toutes les colonies anglaises), double langage …. je conseille, dit-il, mais je ne veux pas participer.
    2) D’autres « Anglais » ont malheureusement suivi et ont agi de même (voir e.a. M. Tatchter qui a retardé tous accords européens pendant une dizaine d’années….. peu admissible.
    Quant au fait que l’unité de l’Europe est en danger, je partage votre avis et votre analyse. Il faut en effet lutter contre l’euroscepticisme.
    Je vous adresse, Monsieur le Doyen, mes salutations respectueuses.

    1. Cher Monsieur Debande,
      Merci de votre réaction.
      Mes chroniques mensuelles qui paraissent depuis plusieurs années dans « La Libre », s’appellent toutes « le regard du prêtre », comme celles de Guy Haarscher s’appellent « le regard du philosophe ». Mais tout comme il n’y parle pas que de philosophie, je ne traite pas que de théologie catholique.
      Je ne pense pas que Churchill utilisait un double langage. Il voyait l’intérêt d’un continent unifié, sans le monde britannique. Personnellement, je préfère que le Royaume-Uni soit « dedans », mais s’il sortait ce ne serait pas mortel pour l’Union. Par contre, si l’axe Berlin-Paris se disloque, la paix du continent sera à terme menacée.
      Bien cordialement,
      EdB

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