Ce soir, mes pensées vont vers tous ces petits commerces, obligés de fermer depuis deux mois. Surtout ceux qui ne pourront pas encore reprendre.
Combien de restaurateurs, de cafetiers, d’organisateurs d’événements festifs auront les reins assez solides pour ne pas devoir fermer définitivement? Nul, en sait.
Courage à chacun.