Merci à La Libre de m’offrir cet espace d’expression.
4 réflexions sur « Qu’est-ce que le droit? – La Libre p.33 »
> La libéralisation de l’avortement n’est pas une « victoire du droit des femmes de disposer de leur corps ». Dans ce cas, pourquoi ne pas l’autoriser jusqu’à la veille de la naissance ?
Parce que à ce moment là, il y a plus besoin d’avortement pour garantir qu’une femme puisse disposer de son corps. A ce moment là, d’autres moyens comme la césarienne parviennent au même résultat.
« ….. capacité quasi mystique de donner la vie » …..En effet, Marie-Madeleine. Moi qui n’ait pas d’enfant à moi, celà me remplit d’admiration , de compassion et de soutien inconditionnels en cas de difficulté.
Tout est là, chère Muriel; s’il y avait un vrai « filet de sécurité », certaines femmes n’aborderaient peut-être pas le sujet de l’avortement. Mais dire cela, aujourd’hui, c’est pas « politiquement correct » ;-) !
> La libéralisation de l’avortement n’est pas une « victoire du droit des femmes de disposer de leur corps ». Dans ce cas, pourquoi ne pas l’autoriser jusqu’à la veille de la naissance ?
Parce que à ce moment là, il y a plus besoin d’avortement pour garantir qu’une femme puisse disposer de son corps. A ce moment là, d’autres moyens comme la césarienne parviennent au même résultat.
La législation sur l’avortement a rendu la femme « libre de son corps » par rapport à l’enfant non souhaité et c’est à peu près tout…
D’autre part ce « droit » ne doit pas devenir un automatisme (et d’ailleurs, je pense que personne n’irait jusqu’à demander cela)
Cela me rappelle une phrase qu’on nous répétait quand j’étais petite « ne parlez pas tant de vos droits, parlez un peu de vos devoirs » !
Moi, je pense qu’une femme possède une capacité quasi mystique, celle de donner la vie et ce droit-là, qu’en fait-on ?
Hiérarchisation des droits ?
Je comprends de moins en moins le monde dans lequel je vais finir mes jours :-(
« ….. capacité quasi mystique de donner la vie » …..En effet, Marie-Madeleine. Moi qui n’ait pas d’enfant à moi, celà me remplit d’admiration , de compassion et de soutien inconditionnels en cas de difficulté.
Tout est là, chère Muriel; s’il y avait un vrai « filet de sécurité », certaines femmes n’aborderaient peut-être pas le sujet de l’avortement. Mais dire cela, aujourd’hui, c’est pas « politiquement correct » ;-) !