La lutte cotre le covid est comparée par d’aucuns à une guerre… Il y a 75 ans, une terrible guerre se finissait.
Il n’y a guère de points communs avec la crise d’aujourd’hui. Si ce n’est que nous devons nous demander: « comment allons-nous vivre ensuite? »
Il y a 75 ans, c’était la joie, des drapeaux (fabriqués avec les moyens du bord) sortaient un peu partout et on pouvait respirer : enfin libres ! Et si mes souvenirs sont exacts (j’étais bien jeune) on est repartis avec courage et optimisme … En tout cas dans ma famille – qui a eu la chance immense de ne perdre aucun membre dans les conflits ou les bombardements !
Aujourd’hui, c’est tout autre chose ! On en sortira mais on ne sait pas quand ni dans quel état nous serons et comment sera notre économie. Il ne faut pas être brillant comptable pour voir que nous serons en récession (ou que nous le sommes déjà). Après la guerre, les affaires n’étaient pas brillantes mais il restait à tout reconstruire. Aujourd’hui …
Sans chercher à „prouver“ le fondement de mon optimisme, je crois que nous avons de bonnes raisons de mettre notre confiance dans la créativité et l‘adaptabilité des économies modernes pour faire face aux nouveaux défis.
Toute comparaison entre les défis tels qu‘ils se présentaient en 1945 et ceux que nous connaissons aujourd‘hui est entâchée par l‘oubli qui s‘est installé en nous, 75 ans après, des incertitudes qui pesaient sur les générations précédentes, alors que nos incertitudes présentes, elles, pèsent très lourd sur nos vies.
Mais enfin M.l’abbé… vous savez bien que les gens vont dire non aux cages ou l’on maltraite, entasse, et rends malade les animaux en Chine, réunissant ainsi les conditions idéales pour fermenter les virus.
Nous allons aussi leur donner l’exemple en traitant mieux les animaux…et cela réduira aussi les activités humaines rechauffantes (mais pas des coeurs).
Je poste en lien un site internet qui parle un petit peu de cela fort bien, et propose la solution simple du végétarisme…adoptée entre autre par un des mes amis chrétien et chercheur au CNRS, pianiste accompagnateur et écrivain (et donc ni un furieux fanatique ni un doux paumé anecdotique, juste un type intelligent droit, bien informé et compatissant de son temps)
(désolé, le lien n’est pas catholique, mais c’est le meilleur que je connaisse)