Les funérailles de victimes du Covid se suivent. Surtout parmi nos aînés.
En plein printemps, c’est comme le temps de feuilles mortes. Les familles vivent comme elles peuvent, ce deuil en confinement. Souvent, elles sont moins en paix quand les relations ne sont pas pacifiées.
Comme quoi… il ne faut pas attendre les derniers instants pour se réconcilier avec son aînés…
Oh! oui, moi aussi j’aimerais tellement que personne ne meure » fâché » . Sans rire, je prie Sainte Rita, patronne des causes désespérées, pour ma famille et pour les autres.
« fâché » ou dans la negation de l’existence d’un autre avec qui on s’est disputé.