En lisant cette semaine dans l’hebdo le Vif/l’Express, la chronique d’un psychologue politique de l’UCL – » Peut-on être prêtre et homosexuel ? » – commentant l’affaire Charamsa au Vatican, je me suis dit que j’allais réagir. Sans esprit polémique et sans nier que l’Eglise doit continuer à affronter toute question liée à la sexualité et l’affectivité de ses consacrés. Mais afin de remettre… l’église au milieu du village.
Et puis… la semaine s’est écoulée et je n’ai trouvé, ni le temps, ni l’énergie pour ce faire.
C’est donc avec gratitude que j’ai lu la chronique d’un gynécologue et sexologue de la même université, le professeur Armand Lequeux – « J’ai rencontré des célibataires heureux » – publiée ce jour dans le quotidien La Libre. Je vous invite à la lire. Je n’aurais pas dit autre chose. Et je l’aurais fait avec moins de compétence médicale et de crédibilité sociale. Merci à lui.
Merci mon père, de vivre ce célibat pour nous, pour l’Eglise, et pour témoigner du royaume !
Eric, ne sous-estimez pas votre crédibilité sociale….
Oui, on peut vivre en célibataire et heureux, même si on avait prévu, au départ, tout autre chose !