Lever les gosses, préparer les tartines, vérifier les cartables, les conduire à l’heure, leur trouver une bonne école, rencontrer l’instituteur, sécher une larme, venir les rechercher à l’heure, superviser les études, les écouter raconter leur journée, les envoyer au lit pas trop tard,…
Et le lendemain : lever les gosses, préparer les tartines, vérifier les cartables,…
Voilà une version de l’héroïsme au quotidien. Et – quand cela est vécu avec amour, voire dans la prière – de sainteté ordinaire. Bonne rentrée les parents. Et courage.
quand je pense qu’on dit que les prêtres célibataires ne comprennent pas les parents !!!!!
tu es la preuve du contraire!!!
C’est chouette que l’Eglise ait canonisé des parents, souhaitons qu’elle continue pour donner du courage à ceux qui sont encore sur le chemin !