Auschwitz – La Libre p.41

Ce mercredi 23 juin est parue ma chronique mensuelle dans le quotidien La Libre en p.41.
Pour la lire, cliquez sur: « Auschwitz ».

 

Merci à La Libre de m’offrir cet espace d’expression. 

9 réflexions sur « Auschwitz – La Libre p.41 »

  1. Par rapport à l’article, et la traque du sang sémite.

    Saviez-vous que Saint Jean de la Croix et Sainte Thérèse d’Avila n’auraient jamais été accepté en religion si ils n’avaient esquivées les lois en vigueurs à l’époque contre les gens ayant des origines juives ?

    Jusqu’à la troisième (voire 6ème, je ne sais plus), avoir du « sang juif » coupait l’accès à la religion, alors.

    La Shoah n’a pas été un délire de créativité perverse, elle a seulement poussée plus loin la perversion, comme le Sage roi l’a dit :

    « Rien de nouveau sous le soleil. »

    D’ailleurs croyez-vous qu’il n’y a pas de massacre similaire à la Shoah en cours ?
    Sans équivaloir une vie animale à une vie humaine, regardez comment on traite les animaux.

  2. L’ article parle des enfants roux moqués en cour de récréation….
    Au Danemark, dans les banques de sperme, l’ hérédité rousse a été supprimée . Parcequ’on s’est rendu compte qu’il n’ y avait pas de demande . La banque de sperme est un business florissant qui marche à l’ offre et à la demande.
    Ne pas être capable de voir la beauté d’un enfant roux est, à mon humble avis, un indice de manque d’imagination esthétique . (  » Les femmes trop belles sont destinées à être aimées par des hommes sans imagination  » disait Marcel Proust ).
    ( Ne pas être capable d’aimer un petit mongolien serait un indice de manque de coeur.
    Ou d’ignorance extrême de ce qu’est le syndrôme de Down).

  3. Eric,

    J’ ai lu et relu cette réflexion que vous nous avez confiée suite à votre visite.

    Et, bien que n’ayant jamais visité l’endroit, je me suis trouvé en parfait diapason avec ce texte.

    Sauf, je pense, pour ce qui est de la dernière phrase, lorsque vous dites, en faisant référence au conflit Israelo-Palestinien:  » Auschwitz n’a pas fini de distiller son poison dans le cœur des humains ».

    En effet, comme vous le soulignez ailleurs dans votre texte, Auschwitz , et donc toute la Shoa, est pour ainsi dire impossible à comprendre et représente un phénomène unique, un « low » absolu dans l’histoire de l’humanité. En termes « géométriques », il occupe à lui seul un plan moral où il est unique.

    Impossible dès lors, de voir la violence entre Israel et les Palestiniens comme le résultat d’un mouvement pendulaire, où une violence en appelle une autre….et où les victimes deviennent à leur tour bourreaux.
    Je sais, vous ne l’écrivez pas, mais certains risquent d’en faire cette lecture.

  4. Vous écrivez la Shoah sans « hache » Monsieur Scholtes.

    Mais Jésus parlait parfois en parabole pour éviter de blesser les foules, alors il faut peut-être se taire…

  5. Croyez -vous.

    D’autres se chargent probablement de les employer pour vous dans des camps de concentration pour animaux …

    Notez-bien que je ne dis pas cela pour mettre sur le même plan ce que l’on a fait à des hommes, et ce que l’on fait au animaux, encore une fois, le rapport est analogique seulement.

    Mais il est suffisant pour me couper l’appétit en ce qui me concerne.

    Cdt.

      1. J’ai soulevé un coin du péché de notre civilisation, et je comprends que vous trouviez que cela dégage une mauvaise odeur, mais elle ne vient pas de moi, quoi que je sois loin d’être en odeur de sainteté il est vrai.

        Les animaux ne sont plus traités comme ils l’étaient au temps du Christ, loin de là…cela serait peut-être chrétien d’avoir ce souci « d’oikonomia », pour employer le langage du père Edb, que d’adapter l’éthique à l’indignité colossale avec laquelle nous traitons désormais ces membres de la création à part entière, en trahissant la confiance du Père et la nature au passage, car je maintiens, renseignez-vous sur le parcours de ce qui arrive peut-être dans votre assiette, et vous découvrirez une ressemblance troublante avec les camps.

        Encore une fois (la dernière), je précise : notez-bien que je ne dis pas cela pour mettre sur le même plan ce que l’on a fait à des hommes, et ce que l’on fait au animaux, le rapport est analogique seulement.

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